// Seena K. Blackewell //

Identité

NOM • Blackewell
PRÉNOM(S) • Seena Kelly
SURNOM(S) • Sun, de son grand-père quand elle était enfant
DATE DE NAISSANCE • 21 janvier
AGE • 20 ans
SIGNE ASTROLOGIQUE • Verseau
LIEU DE NAISSANCE • Phoenix, Arizona
NATIONALITÉ • Américaine
STATUT // OCCUPATION • Etudiante en journalisme audiovisuel


Portrait psychologique & physique

CARACTÈRE • Vous ne pourrez jamais dire que vous connaissez Seena. Vous pouvez vous faire croire vous-même que vous la connaissez par cœur mais dans le fond, ce serait comme vous mentir. Peut être qu’un jour, elle se dévoilera à vous et vous aurez l’impression de rencontrez une toute nouvelle personne, totalement différente de ce que vous imaginiez. Indécente, enfantine, insupportable, indifférente, tant d’adjectifs lui vont si bien. Fille normale, presque banale avant tout, elle a besoin des autres pour exister. Ouverte et extravertie, elle est peu timide et déborde d’énergie. Déterminée, elle peut se montrer vraiment têtue, même si cela peut parfois sembler ridicule. Rêveuse, elle préfère parfois s’isoler dans son propre monde, à l’abri de la réalité. Utopiste, elle est certaine de voir le bien en chaque personne, comportement qui peut parfois lui attirer des ennuis. Malgré sa bonté, elle possède un caractère bien trempé… La jeune femme peut se montrer rancunière, à tel point qu’elle n’oublie jamais le visage d’une personne lui ayant fait du tort. Lunatique, elle change d’humeur, se révèle parfois émotionnelle de façon extrême, réagissant au quart de tour à une simple remarque, de façon la plus inattendue qui soit, quel que soit les circonstances. Parfois, ses désirs de solitude sont soudain et peu compréhensibles. Certains diraient qu’elle cache quelque chose : mais elle ne prétend à rien et n’est pas celle que l’on imagine. Femme-enfant, elle a tendance aux caprices et révèle un besoin irrépressible de liberté et d’indépendance alors même qu’elle a besoin de la compagnie des autres. Une contradiction à elle seule.

Abordant en permanence un air énigmatique, un sourire serein aux lèvres : telle est l’attitude habituelle qu’expose Seena en présence d’une autre personne. Elle paraît sûre d’elle, mais craint ceux qui le sont vraiment. La confiance en soi n’est pas son point fort et elle ne cesse de douter. Irréfléchie, elle a tendance à agir avant de parler, et peut regretter ses actes une fois qu’ils ont été commis. Les explosions de colère dont elle peut être capable sont impressionnante de par leur violence, et elle ne parvient pas toujours à se maîtriser ; elle tente de calmer ses ardeurs en fumant ou en buvant, et se hait d’avoir si peu de retenue. La jeune femme sait se faire discrète mais n’as pas la langue dans sa poche ; pourtant, elle sait parler avec douceur lorsque les circonstances le demandent. Taquine, elle adore lancer de petites remarques aiguisés à propos des faiblesses de ceux qui l’entourent… Sa moquerie s’oublie vite lorsqu’elle se met à sourire, il n’empêche que la souffrance qu’elle provoque l’amuse et la met mal à l’aise dans le même temps. L’un de ses défauts primordiaux est qu’elle a tendance à se laisser entraîner très facilement dans la « mauvaise voie »… Naïve et plutôt crédule, elle déteste cependant le mensonge. Si vous lui donnez votre parole, inutile de chercher à la reprendre : elle ne vous lâchera pas la grappe. Et s’il s’avère que vous ne respectiez pas vos engagements, méfiez-vous, car vous ne pourrez deviner quelle forme prendra sa vengeance…

DÉFAUT DOMINANT • Lunatique – Elle peut changer d’humeur au moindre instant… Souriante une seconde, boudeuse celle d’après, colérique une minute plus tard, on ne sait jamais quelles seront ses réactions face à tel ou tel évènement. Elle est imprévisible.
QUALITÉ DOMINANTE • Altruisme – La jeune femme est du genre à penser aux autres avant elle-même, bien que ces temps-ci, cette qualité s’altère quelque peu…
MANIES & HABITUDES • La faire rougir est chose facile, et lorsqu’elle se sent mal à l’aise, elle a tendance à fumer de façon systématique. Bien qu’elle ne soit pas accro à la nicotine, c’est une habitude dont elle à du mal à se passer. Il lui arrive aussi d’entortiller ses cheveux autour de ses doigts comme le ferait une enfant.

APPARENCE PHYSIQUE • Seena est une jeune femme fine, agréable à regarder et même à vivre, si elle fait un effort. On lui a déjà dit paraître jeune, fragile. Son visage d’ange tombé du ciel, son air de femme-enfant, tout porte à penser qu’elle n’a même pas dix-huit ans. Elle possède cette finesse et cette douceur particulière qui attire sur elle les regards envieux. Un visage assez fin, des yeux bleus océan, très expressifs, un joli minois en somme. Sa peau claire trahit facilement sa gêne et lorsqu’on réussit à la prendre de court, le rouge lui monte vite aux joues. Ses cheveux châtains sont parsemés de mèches naturelles, plus ou moins claires, et parcourus de douces ondulations. Son corps est justement proportionné, et elle aime à mettre en valeurs ses atouts. Niveau style, elle se créée ses propres tendances, ne suivant que ses envies tout en sachant rester naturelle et assez passe-partout.

Biographie

ANECDOTE DE L'ENFANCE OU DE L'ADOLESCENCE •

- Seena, ou es-tu ?

La petite fille sursauta légèrement. Le livre poussiéreux tomba sur le plancher de bois sale avec un léger bruit mat, et l’enfant posa un regard angoissé sur la couverture de cuir abimée par les ans. L’avait-on entendu ? Risquait-on de deviner qu’elle était au grenier ? Elle n’avait pas le droit d’être ici. Les cartons s’entassaient dans la petite pièce au sol grinçant, monticules interdits dans lesquels elle n’avait pas le droit de mettre le nez. Pourquoi ? Depuis que son grand-père était mort et que ces mystérieuses boîtes étaient venues s’installer dans la maison, d’abord étant placées au rez-de-chaussée, elle n’avait cessé de penser à ce qu’elles pouvaient contenir. Si elle avait pu la retenir les premiers temps, sa curiosité avait été exacerbée lorsque, décidant de jeter un coup d’œil, Seena s’était fait morigéner avec vigueur par sa mère, celle-ci déclarant alors que ces cartons devaient être montés au grenier, et ce, le plus vite possible. Il n’en avait pas fallu plus, et l’énigmatique contenu était devenu une obsession pour l’enfant.

En dessous d’elle, des bruits de pas résonnèrent, s’arrêtèrent, puis repartirent tandis qu’elle retenait son souffle. Sa mère alla l’appeler dans le jardin, il lui restait encore quelques minutes de paix, quelques instants pour satisfaire sa curiosité… Ses doigts laissèrent des traces sur le cahier, se couvrant de poussière lorsqu’elle l’attrapa en douceur, s’asseyant juste sous le faible faisceau de l’ampoule nue pendue au plafond qui constituait la seule source de lumière dans l’obscurité. Des feuilles volantes, croquis ou prises de notes rapides, parfois quelques feuillets provenant de vieux livres garnissaient le carnet. Plissant les yeux pour mieux déchiffrer les lettres, Seena commença à lire quelques pages choisies au hasard du gros cahier de notes de son grand-père. Les mots, sans doute tapés sur une machine à écrire, allumèrent de nouveau la flamme de la curiosité, ravivant dans le même temps sa passion pour les vieilles histoires que lui racontait son aïeul. Parmi les quelques paragraphes qu’elle eut le temps de parcourir des yeux sans vraiment les lire, seules les deux dernières lignes l’intéressèrent tout à fait :

« Les hybrides démoniaques, sous l’apparence d’êtres humains quelconques, continuent de proliférer, et leurs contraires angéliques ne suffisent à calmer leur folie. Moi qui suis Gardien de par le sang de mon père, il est de mon devoir de »

- Seena ! Qu’est ce que tu fiche ici !?

Le gros carnet de notes se ferma si brusquement qu’un nuage de poussière envahit le coin ou se trouvait la gamine. Se levant rapidement, manquant de se cogner à une poutre du plafond, la jeune fille jeta le carnet dans le carton le plus proche, tâchant tout de même de mémoriser son emplacement, avant de remplacer l’avide curiosité qui marquait son visage par un air de culpabilité toute enfantine. Elle fut envoyée au lit rapidement, enfermée dans sa chambre tandis que sa mère continuait à marmonner à travers la maison, à propos de « folies, sornettes, idioties », approuvée par le père de la gamine qui décrétait d’un ton ferme et quelque peu anxieux que plus jamais Seena ne retournerait farfouiller dans ces vieilleries.

Le lendemain, les parents partirent faire des courses, laissant la gamine seule, ce qui la surprit. Elle s’était attendue à ce que la clé du grenier eut changé de place, mais non, elle était toujours là, fièrement suspendue à l’atelier du garage ; pourtant, lorsqu’elle eut ouvert la porte, la déception remplaça la délicieuse sensation qu’avait ressentie Seena à l’idée de pouvoir contenter une nouvelle fois sa curiosité. Le grenier était vide, propre, et les vieux meubles, le gros coffre de bois, les cartons et les livres, tout avait disparu.

ANECDOTE DE LA VIE ACTUELLE •

Une arabesque de fumée grise se dispersa dans l’obscurité de la petite pièce. Deux iris bleus aux pupilles quelque peu dilatées suivirent les déformations subies par les volutes claires, tandis que la bouche appartenant au même visage se referma, chassant d’entre les lèvres rouges le dernier souffle de cigarette. Seena soupira une nouvelle fois. Les trois hommes en face d’elle se couchaient, jetant leurs cartes sur la table de poker. Elle sourit. Etalant fièrement sa quinte flush, elle posa doucement sa main sur les jetons face à elle et les ramena sur le côté de la table.

- Merci messieurs…

C’est trop facile. Le joueur à sa droite d’elle la dévisage, un sourire amusé sur le visage. Elle lui rend la pareille, tout en distribuant de nouveau. L’homme du milieu fulmine, le dernier, à gauche, n’as pas l’air très intéressé par la partie : cela fait deux ou trois fois que Seena a senti sa main contre sa cuisse. La colère monte vite, trop vite, elle se retient, à chaque mouvement qu’elle sent sur sa peau, de piquer une crise en lui faisant bouffer ses cartes, ou tout autre supplice du même genre. Heureusement, un simple écart brusque suffit à le calmer dans ses ardeurs, malgré qu’il recommence de temps à autre. Concentrons-nous : il va falloir la jouer fine et les laisser gagner, un peu. Qu’ils s’amusent, eux aussi.

- Et si nous discutions un peu ?

Celui à sa droite vient de parler. Après tout, ils sont là pour ça… Elle n’écoute pratiquement rien des échanges entre les trois hommes. Elle plane, un peu trop haut cependant pour que cela soit tout à fait innocent. Ce n’est peut-être pas la première fois qu’elle fume quelque chose d’aussi fort, mais là, elle s’est surpassée ; cependant, elle ignore comment, mais elle reste assez concentrée pour jouer, et gagner avec ça. Deux paires. Subtile, elle ne sourit pas, même si ce n’est pas l’envie qui manque.

La soirée se termine doucement. Seena suit l’homme qui se trouvait à sa droite, quelques instants auparavant. Il marche, les mains dans les poches, se situant dans un labyrinthe de vieilles rues crasseuses ; le bruit des talons de la jeune femme résonnent sur l’asphalte abimé par les ans. Elle fume de nouveau, contemplant au fur et à mesure de ses pas la fumée qui se dégage d’elle.

- Alors, t’arrive ?

Elle n’avait pas remarqué qu’il s’était arrêté pour l’attendre ; elle le rattrape, sans se presser toutefois. Il passe sa main autour de sa taille, comme pour la soutenir ; elle, y voit plutôt une forme de domination. Mais elle ne dit rien, jette sa cigarette sur le trottoir, éclat incandescent sur le bitume sombre. Doucement, la pluie commence à tomber ; elle relève la tête, ouvre la bouche comme une enfant, prenant plaisir à sentir les gouttes fraîches tomber dans sa gorge. Elle rit, et même si cela sonne faux, elle ne se force pas. L’alcool ne fatigue plus ses pas, il est déjà parti et à emmené avec lui son envie de compagnie. Elle se libère doucement de l’étreinte de son homme, celui-là même qui l’a prié de l’accompagner ce soir au club, pour qu’elle exerce ses talents d’accompagnatrice, docile et obéissante, rien de plus qu’un objet bien roulé et tape à l’œil chargé d’apporter les verres, de sourire et d’aguicher un peu pour arracher la réponse désirée aux pigeons visés. Elle a envie de solitude, soudainement. Ses yeux à l’éclat bleuté se perdent sur les immeubles gris qui se détachent à peine de la nuit sans clarté. Que fait-elle, ici, à Seattle, si loin de chez elle ? Elle l’ignore. La question est sans réponse, pourtant déjà posée mille fois ; Seena ne sait presque plus pourquoi elle est partie. Ses parents, le besoin de s’éloigner d’eux, l’envie d’indépendance, toutes ces conneries. Ses parents. Maintenant qu’ils sont morts dans l’incendie qui a ravagé la maison voilà plusieurs mois, tout semble différent. Le besoin de rentrer se fait sentir. Comment l’as t-on appelé déjà ? L’orpheline… Blague de mauvais goût, déplacée, inutile. Elle pense à ce qu’il lui reste de famille. Bien peu de choses ; son oncle, sa tante, son cousin. Devon. Elle s’assombrit aussitôt en se rappelant les vaines promesses qu’ils s’étaient fait enfants, puis chasse cela de sa mémoire. Il l’a abandonné, lui aussi. La rancune, la déception lui envahit la bouche, comme chaque été qu’elle passait dans la ville de son enfance, attendant, espérant sottement qu’il viendrait la voir, qu’il ne l’oublierait pas. Mais ce n’est pas le moment d’y penser.

Son regard se pose sur le grand brun qui la dévisage, le regard sombre, agacé par ses enfantillages stupides. Elle se sent idiote, soudainement. Alors, elle reprend sa marche, et se perd une nouvelle fois dans ses préparatifs, organisés depuis deux semaines au moins. Aura-t-elle le courage de revenir vers ses origines ? Ses parents ont menés une petite vie tranquille dans cette ville, à ce qu’elle sait. Peut-être peut-elle quitter tout cela ; le trafic, les marchandages, ce n’est pas pour elle. Elle vaut mieux que ça, même si sa pensée est amère ; elle veut rentrer. Voir ce qu’il reste des décombres de sa maison, de son ancienne maison. Et puis, elle a des tas de papiers à remplir, il faut vendre le terrain… Tout devient une excuse pour se forcer à rentrer là-bas. Après trois ans d’absence, Phoenix aura-t-elle changée ? Les bagages sont presque prêts. Il faut partir, demain. Sans rien dire à personne ; moins on en saura sur elle ici, mieux ce sera. La peur lui noue le ventre mais elle tâche de faire taire ses angoisses. La porte de l’appartement est en vue ; tant mieux. Ces temps-ci, la jeune femme est bien trop émotionnelle, et s’en rend compte. Dès qu’ils sont entrés, elle se dirige vers la salle de bains, se douche rapidement. Et puis, elle compte. Comme tous les soirs. Un, deux, trois.

- Encore tes foutus médocs ?

Décidément, il est de mauvais poil. Elle n’a pas écoutée mais peut-être que finalement, ca ne s’est pas arrangé comme il le voulait, côté affaire. Pourtant, il a du voir qu’elle était malade… Il a eu sans doute flippé qu’elle ne lui claque dans les doigts, l’autre jour, quand elle s’est a fait un malaise, sa mort aurait nécessité la venue de pas mal de monde, des flics notamment. C’est sur, il a du avoir peur, pas pour elle mais pour ses magouilles. Elle ne répond pas, avale ses somnifères. Se couche, attend le sommeil pour ne pas céder à la peur, à l’angoisse, à l’inquiétude face à tous ces sentiments qu’elle ressent, qui l’envahissent, de façon quasi-perpétuelle. Demain, il faudra rentrer à Phoenix.

SIGNES PARTICULIERS • Elle possède un grain de beauté sur la lèvre inférieure et un piercing au nombril.

QUAND EST-IL/ELLE DEVENU(E) UN(E) HYBRIDE ?• La phase de commencement qui la fait plonger peu à peu dans le mauvais côté du monde débute à peine. Elle n’a aucunement conscience que ses explosions de colère et de haine non maîtrisée sont les fruits du changement qui naît en elle, et se reproche son incapacité à se contrôler. N’ayant pas encore abordé le processus de transformation, elle débarque à Phoenix au commencement du rp, alors que la « maladie » commence à faire son œuvre.

POUVOIRS MAÎTRISÉS • Etant donné qu’elle débute à peine après et qu’elle n’as pas encore passé le processus de transformation, elle ne ressent pas encore pleinement ses pouvoir, mais ceux qu’elle maîtrisera seront les suivants :

• Télékinésie.
Ce pouvoir est avant tout celui de la destruction, car dans ses moments de colère les plus intenses, plusieurs objets ont tendance à se fracasser un peu partout, comme s’ils souhaitaient d’eux-mêmes se briser. Elle a tendance à se croire folle à cause de cela, car après une émotion intense, des objets se retrouvent mystérieusement déplacés ou détruits…

• Charme manipulateur.
Sa voix est la plus douce des musiques… Lorsqu’elle veut quelque chose et qu’on la lui refuse, cet atout se révèle des plus utiles. Il lui suffit de moduler sa voix pour invoquer ce pouvoir, et on ne peut plus lui résister. Ses demandes sont des ordres que chacun se plaît à satisfaire. Ce pouvoir est celui dont elle a le plus conscience, même si elle a tendance à se cacher de la vérité en priant la chance, et elle tente vainement de se contrôler pour ne pas en abuser.

EST-IL/ELLE POUR OU CONTRE LES HYBRIDES-DÉMONS QUI CHERCHENT A RENVERSER LE POUVOIR ET S'EMPARER DE LA VILLE ? • Elle ne connaît pas l’existence des hybrides-démons et anges, mis à part ce qu’elle a pu en lire dans les livres de son grand-père. Elle préfère ne pas y penser car ces changements lui font peur. Pensant au bien des autres, elle ne se moque que peu de leurs malheurs, sauf lorsqu’une bouffée de colère l’envahit ; en ce cas, elle peut très vite regretter ses paroles. Elle se cache d’elle-même, refrène tant qu’elle le peut ses accès de haine subite dans la peur de faire du mal à ceux qui l’entourent.

Carnet de relations

Devon E. Caldwell • Jim Sturgess

• Son cousin.

“ A la mort de leur grand-père, ils s'étaient promis de ne plus se séparer, de rester toujours en contact quoi qu'il puisse arriver. Malheureusement, le garçon ne tint pas sa promesse puisque ses visites à Phoenix s'arrêtèrent brutalement après le décès de l’aïeul. Sans savoir qu'il n'était en fait pas responsable, la jeune Seena en voulut à Devon pendant de longues années pour avoir brisé leur serment. Elle ne lui a d'ailleurs toujours pas pardonné, même aujourd'hui. ”

Autres

•Observatrice, elle excelle en mémoire visuelle.
•Elle adore tout ce qui est du domaine de l’imaginaire. Les histoires fantastiques la font rêver et sont ses romans passionnés.
•Curieuse, elle a tendance à se mêler de ce qui ne la regarde pas, du moins avec ceux dont elle est proche.
•Elle écoute un peu de tout, ayant une préférence pour le rock même si elle est une vraie cruche en culture musicale.
•Elle dessine beaucoup. Elle possède plusieurs carnets pleins à craquer d’esquisses en tout genre, mais elle n’avouera jamais cette passion à quiconque, détestant l’idée de devoir montrer ses croquis.
•Elle adore le lait. Elle est capable d’en avaler plusieurs litres dans une journée durant ses moments de stress.
•Elle n’a pas le permis et déteste qu’on lui fasse la remarque qu’il serait temps de le passer.
•C’est une shoppeuse de première, elle adore faire les boutiques et se ruer dans les magasins à n’importe quel moment.
•L’alcool lui est agréable, mais elle ne parvient jamais à ne pas en abuser lors de soirées…

PERSONNALITÉ DE L'AVATAR • Michelle Trachtenberg
SURNOM • Melly ca ira :D
SEXE • Mouhaha
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? • En fouinant sur quelques forums
COMMENTAIRES ? • J’espère que ma fiche est validable. Mon perso n’est pas encore totalement une hybride puisqu’elle n’a pas encore abordé le processus de transformation (ce qui ne saurait tarder en rp). J’ai repris plusieurs détails de la fiche de présentation de Seena par Devon E. Caldwell, je tiens à le préciser

Bienvenue chère cousine