Joyce Mills {100%}

Identité

NOM • Mills
PRÉNOM(S) • Joyce
SURNOM(S) • Joy
DATE DE NAISSANCE • 08 juillet
AGE • 28 ans
SIGNE ASTROLOGIQUE • Cancer
LIEU DE NAISSANCE • Cambridge (Massachusetts)
NATIONALITÉ • Américaine
STATUT // OCCUPATION • Joyce Mills est avocate, elle fait partie d’un cabinet d’avocat renommé.

Portrait psychologique & physique

CARACTÈRE • Comme chez beaucoup de personnes, le caractère de Joyce s’est dessiné au cours des années. La vie ne l’a pas épargné, ce qui a renforcé de manière significative son caractère. Cette force de caractère, lui a permis de réussir brillamment ses examens du barreau. Quand elle commence quelque chose elle aime le faire complètement et met toutes les chances de son coté pour réussir ce qu’elle a entrepris. Enfant, elle fut orpheline très tôt suite à la mort prématurée de ces parents. De cette épreuve elle garde une grande méfiance envers les personnes qui l’entourent. Ce trait de caractère se révèle souvent des plus utiles dans les affaires qu’elle instruit. La méfiance de la jeune femme est très prononcée, sans doute le plus prononcé chez la jeune avocate. Dans la vie de tous les jours c’est un handicap fort mais dans son travail c’est une force. Joyce ne donne pas facilement sa confiance, mais une fois qu’elle l’a donné elle fait partie de ces amis fidèles et sincères qu’on peut appeler à n’importe quel moment du jour et de la nuit. Elle est d’une grande franchise n’hésitant pas à dire ce qu’elle pense, même si cela peut des fois blesser les gens. Pour elle mieux vaut être sincère que flatter les ego des personnes qui nous entourent. Et les personnes qui l’entourent comptent beaucoup pour elle. Il faut dire que la jeune femme est d’une grande générosité, elle aime aider les autres, et n’hésite pas à s’engager dans des grandes causes.

DÉFAUT DOMINANT • La susceptibilité
QUALITÉ DOMINANTE • La Franchise
MANIES & HABITUDES • Joyce a tendance à se mordre la lèvre inférieure quand elle réfléchie.

APPARENCE PHYSIQUE • La beauté de la jeune femme ne fait aucun doute. Ces longs cheveux blond vénitien, légèrement ondulés, tombent délicatement sur ces épaules. La jeune femme aime changer de couleur régulièrement, ainsi il n’est pas rare de la voir de temps à autre avec des cheveux d’un brun profond. Ces grands yeux marron, font ressortir son teint légèrement halé, un héritage de sa famille paternelle venue du Mexique qu’elle n’a pour ainsi dire pas connu. Joyce est une jeune femme svelte et élancée, son visage est d’une proportion parfaite, ses lèvres sont pulpeuse et son nez aquilin. Elle aime agrémenter son regard d’un trait de crayon noir, et ses lèvres d’un peu de gloss. Mais elle n’est pas adepte d’un maquillage trop voyant, le naturel primant pour la jeune avocate. Elle fait du sport assez régulièrement, pour ne pas dire tous les matins pour entretenir son corps. Après tout un petit footing ça n’a jamais fait de mal à personne. Son style vestimentaire est des plus soignés, mais elle évite tout de même de porter des tailleurs en continu, elle se sent au mieux dans un jeans taille basse et un petit top assorti au mieux à son teint.
Biographie

Anecdote dans le message qui suit

SIGNES PARTICULIERS • Rien d'important...

EST-IL/ELLE AU COURANT DE L'EXISTENCE DES HYBRIDES ? •
Joyce n’est pas réellement au courant de leur existence, elle serait incapable de les nommer et d’expliquer qui ils sont. Mais plusieurs événements de sa vie lui font croire à l’existence des anges ou des démons. Les histoires de son enfances faisant référence a des anges et des démons hybride sur terre, commence à travailler Joyce. Et si ce n’était pas seulement des histoires pour endormir les enfants ? Mais elle n’a pas eu de confirmation de ces idées, et puis à qui demander cela. Elle ne peu pas aller chez un voisin pour leur dire, vous n’avez pas l’impression qu’il y a des personnes qui dirige plus ou moins leurs existence. Elle n’a pas l’intention de se faire interné dans les prochains jours. C’est les prochains événements qui permettront sans doute à la jeune avocate d’en savoir plus…

COMMENT RÉAGIT-IL/ELLE PAR RAPPORT A CE QU'IL SE PASSE A PHOENIX DERNIÈREMENT ? •
Joyce est une jeune femme réfléchie qui n’a jamais vraiment cru à ces thèses anciennes de cinquante ans sur cette maladie mystère. Elle s’y était intéressée suite aux histoires que lui racontait son grand père. Déjà elle ne comprenait pas comment une telle maladie avait pu exister. Les derniers événements et la nouvelle mention de cette maladie, elle n’y croit pas. D’une part car personne n’est capable de lui expliquer les événements et son esprit cartésien et juridique la pousse à ne croire les choses qu’une fois qu’elle en a des preuves. Là personne ne peut lui expliquer le pourquoi du comment. De plus depuis son enfance son grand père lui parle d’etre extraordinaire bon ou mauvais qui peuvent régir la vie des hommes. Si elle n’avait écouté ces histoires que d’une oreille, comme toutes les histoires qu’on raconte aux enfants… Les derniers événements font réfléchir la jeune femme sur la véracité des dires de son grand père. Elle ne croit pas à cette maladie, mais en même temps que croire ? Ces vieilles histoires ressemblant plus à des histoires fantastiques, serait-elle fondées sur des faits réels, ces faits se reproduisaient-ils ?

Carnet de relations

Pas pour le moment, mais j’ouvrirais la fiche de lien


Autres
- Quand elle gagne une affaire elle aime passer une soirée avec des amis dans son restaurant préféré.
- Elle à depuis peu un chaton gris, une petit boule de poil très attachante, qui est une véritable présence dans l’appartement de la jeune femme.


PERSONNALITÉ DE L'AVATAR • Jessica Alba
SURNOM • M_élie
SEXE • Feminin
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? par Gabrielle Bleak
COMMENTAIRES ? • Le design est magnifique !!! Et le contexte très original :)

Bienvenue ! Je te réserve l'avatar.

ANECDOTE DE L'ENFANCE OU DE L'ADOLESCENCE •

Cela faisait deux ans qu’elle vivait chez son grand père, suite à la mort accidentelle de ses parents. Joyce fut recueillie et élevée par son grand père maternel. L’horloge sonnait les huitièmes coups. La petite fille de huit ans descendit quatre à quatre les marches reliant l’étage, et les chambres, avec le salon. Son grand père était assis au coin du feu, il ne fut pas surpris de la voir arriver aussi rapidement.

« J’ai crus que tu ne voulais pas d’histoire ce soir »

Dit-il en souriant. Cette histoire du soir était un rituel depuis son arrivée dans cette maison. Son grand père prenait plaisir à lui raconter tous les soirs une nouvelle histoire mais Joyce avait ses préférences, comme tous les enfants elle peut écouter plusieurs fois la même histoire.

« Je veux mon histoire »

Dit-elle en faisant une moue boudeuse à l’intention de son grand père. Ce dernier s’amusa de la réaction de sa petite fille. Bien entendu il lui raconterait son histoire, en fait il devait aimer ce moment autant que la petite.
Joyce alla chercher un gros coussin sur lequel elle était toujours assise durant ces moments de calme. Elle s’installa confortablement. Son grand père n’avait pas l’air de commencer l’histoire, elle trouvait ça étrange en général il commençait tout de suite, elle n’avait même pas le temps de demander une histoire en particulier. Pour une fois elle en avait l’occasion, elle n’hésita pas une seconde.

« Dis, Tu peux me raconter l’histoire des anges et des démons qui viennent sur terre dans un autre monde ? »

C’était une histoire étrange et qui depuis toujours travaillait la petite fille. Elle aimait beaucoup l’idée d’ange sur terre qui la protégeait, mais en même temps, pourquoi ces anges auraient-ils put la priver de ses parents. Pourquoi elle ne pouvait pas comme les autres enfants jouer avec son papa ou apprendre à faire a la cuisine avec sa maman. Elle avait du mal a comprendre ce qui s’était passé, elle savait qu’ils avaient eu un accident de voitures et qu’ils étaient mort. « Mort » un mot qu’elle avait du mal à comprendre. Elle savait qu’elle ne les verrait plus, mais son grand père s’occupait d’elle avec tellement d’attention et de gentillesse. Cela rendait la vie de Joyce heureuse malgré cette épreuve.

«Tu ne veux pas une histoire plus amusante pour le soir ? »

Il savait bien qu’il ne lui ferait pas entendre raison, depuis toute petite quand elle voulait quelque chose elle s’y tenait. Et il savait bien que cette histoire faisait partie des histoires préférées de la petite fille. Mais cette dernière ne savait pas qu’il ne l’inventait pas complètement. Elle le découvrirait plus tard.
Avant qu’elle n’ait eu le temps de râler, et de dire qu’elle tenait à cette histoire, il avait commencé son récit. Un récit sombre sur une ville qui aurait été exposé au bon vouloir d’anges et de démons hybrides. Et d’une guerre entre les deux. Cette histoire que Joyce pensait tout droit sortie de l’imagination de vieil homme. Petite elle se voyait dans ce monde et se demandait comment elle aurait réagi. Ce monde imaginaire était son refuge, elle aimait s’y retrouver. Bien sûr c’était une histoire dure, et triste mais elle avait au moins le mérite de mettre une image sur le bien et le mal. C’est très important pour un enfant de bien pouvoir voir le lien et les relations qu’il y a entre ces deux sphères particulières.

La pendule sonnait de nouveau, il était neuf heure, l’heure à laquelle Joyce devait se coucher, pour cela son grand père n’était pas des plus souple. L’heure c’était l’heure…

« Encore cinq minutes, juste pour la fin de l’histoire… » Demanda la petite fille.

Il regarda sa petite fille la suppliant du regard, mais il n’avait pas l’intention de lui révéler. La fin de l’histoire en fait il ne l’avait jamais terminé c’est peut etre pour cela qu’elle tenait tant a cette histoire.
Il regarda sa petite Joy et sourit :

« Tu verras la fin de l’histoire dans tes rêves. »

Joyce savait que ce n’était pas la peine de négocier avec son grand père, elle craquait toujours avant, il avait plus d’expérience que lui dans le fait de tenir tête. C’est sans doute grâce à lui qu’elle a gagnée sa force de caractère et sa volonté de toujours faire ce qu’elle avait décidée elle.
Les deux montèrent jusqu'à la chambre de la petite, une véritable chambre de petite fille, avec des peluches de partout, une maison de poupée…
Il l’a borda, l’embrassa sur le front et quitta la chambre.

« Bonne nuit petit ange »

Il ne ferma pas la porte complètement pour laisser entrer un halo de lumière dans la chambre Joyce.

ANECDOTE DE LA VIE ACTUELLE •

« Affaire numéro 89, l’état contre Franck Solis »

Ca y est son affaire avait commencé, sa première affaire ou elle plaidait seule. Elle avait l’impression de trembler, enfin non en fait elle tremblait complètement. Elle avait peur de ne pas arriver à prononcer un seul mot. Tout le tribunal était debout, comme dans toutes les affaires publiques au moment de l’entrée du juge et du procureur général. Après l’annonce du greffier c’était à elle de parler, pourvue que les mots sortent dans l’ordre, et qu’elle ne se mette pas à bégayer au milieu de sa phrase.
Elle prit son courage à deux mains, ouvrit la bouche :

« Nous plaidons non coupable »

Voila les mots étaient sortis, dans l’ordre et elle était encore sur ces pieds. Pas d’ambulance ou de pompier appelés en urgence pour cause d’évanouissement dans la salle d’audience. Pas de doute elle avait réussi a etre seule dans la salle et à prendre la parole sans avoir à coté d’elle un as du barreau. La cour pouvait enfin s’asseoir, c’est a se moment là qu’allait commencer l’épreuve de la jeune femme. Elle savait son client innocent, en même temps on l’accusait d’un braquage de banque et en fouillant dans les relever d’identité et les caméras de surveillance, elle avait réussi à mettre la main sur des images de son client à cinquante kilomètres du lieu du crime. Autant dire qu’il ne pouvait pas être sur les lieux du méfait en même temps que dans la bibliothèque de la ville.
Maintenant il fallait qu’elle soit adroite dans la façon dans laquelle elle ferait intervenir les témoins, et les spécialistes.

« La défense appelle Madame Hernandez à la barre »

Après cela s’en suivit une série de question et de réponses, permettant de juger à la fois de la psychologie et la moralité de l’accusé.
Cela allait permettre de montrer aux membres du jury que ce n’était pas seulement une vidéo qui allait innocenter son client mais un ensemble de faits. Il était clair qu’il était innocent le jury ne devait pas avoir le moindre de doute. Elle ne voulait pas un acquittement faute de preuve, elle voulait le blanchiment complet de son client.
La suite des interrogatoires étaient des plus instructifs… en fait elle était de plus en plus en confiance dans cette salle. Elle se sentait à la maison, elle prenait de plus en plus d’assurance arrivant à montrer les failles dans les témoignages incriminant son client.

Le plaidoyer était un des moments qu’elle préférait lors des exercices réalisés pour les cours. Mais là elle devait le faire sans filet, elle n’avait pas le droit de recommencer, elle était en quelque sorte dans le grand bain. Après vingt minutes de plaidoirie, ce fut à l’accusation de plaider et de donner sa version des faits.

« La cour va se retirer pour délibérer »

Cette phrase elle l’aimait mais en même temps elle la redoutait, au retour de la cour dans la salle d’audience elle saurait si elle avait été convainquante. Elle allait voir si les exercices, les soirées à potasser le code pénal et à apprendre les articles de lois allaient payer. Cinq minutes, vingt minutes, le temps filait. Elle avait l’impression que ça durait une éternité. Mais elle ne devait pas faire voir son trac et son stress à son client. Ce dernier comptait sur elle. Elle devait se montrer rassurante. Au bout de quelque instant l’officier de service frappa à la porte de la salle « d’attente ».

« Vous pouvez venir la cour est prête à rendre le verdict »

Le verdict, l’accusé stressait de savoir si il allait devoir passer cinq ans en prison ou si il était libre. Elle, elle stressait de savoir si son plaidoyer avait fait mouche auprès du jury.

Trente minutes plus tard…

Elle sortait le sourire aux lèvres, avec son client libre comme l’air. Et oui aucun jury n’avait voté coupable. Il était blanc comme neige. Elle avait eu ce qu’elle voulait, Joyce avait gagné sa première affaire. Elle allait enfin avoir un nom au sein de la famille très fermé des maitres du barreau. C’est à partir de cette affaire remporté avec talent, elle instaura son nouveau rituel. Une soirée avec des amis dans son restaurant préférée. Le restaurant japonais du coin de la rue. A chaque affaire remportée elle se prenait son menu préféré. Le rendez vous était pris… A quand la prochaine affaire.

Terminé ?

oui je pense que c'est bon :) ! Enfin j'espère

Oui, je valide donc. Bon jeu !

MERCI